Raphaël Gabrion est de ceux que leur métier enchante. «Quand ils (les projets ndlr) se construisent enfin, c’est le grand moment de vérité : ces doutes, cet acharnement, ces recherches a priori inutiles, ce temps à marcher en avant, en arrière, tout ça pour ça, pour quelle chose. Puis enfin, le plaisir d’avoir bâti, cette chose étrange et familière qui fait sens, bien au-delà de la matière physique. Quel plaisir ! Pourvu que cela dure».