«Les formes seules ne peuvent rien changer. Les hommes ont besoin d'être engagés avec les autres. J'insiste toujours sur le fait que l'architecture doit être ouverte et incomplète, une attitude qui suggère de possibles changements qu'il nous est d’ailleurs difficile à prévoir tant la société est constamment en train d'apprendre et de changer», souligne G. Mazzanti dont l’oeuvre en Colombie est tant architecturale que sociale.